Des plaies à moitié cicatrisées qui se déchirent à nouveau. Deux, trois souvenirs quand je ferme les yeux et du mascara plein les joues. C'est toujours l'envers du décor quand on dit qu'on va mieux. C'est toujours la magie du chiffre et les voix dans ma tête. Cette phrase en fond sonore, comme les flashback dans les films avec des voix d'enfants.
Tu devrais maigrir.
Tu devrais maigrir.
Six mois sans vomir.
Et toujours sa voix.
Tu devrais maigrir.
Et sa voix à lui.
Je suis amoureux d'Elle.
Tu devrais maigrir.
Peut-être qu'en fin de compte, je serais jamais assez bien pour personne.
J'y croyais.